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Le plus beau voyage est celui que l’on n’a pas encore fait.

— Loïck Peyron

Coober Pedy, capitale mondiale de l’Opale

2nde étape sur la route de Darwin, la ville (enfin 2 000 hab.) de Coober Pedy est née au début du XXème siècle après que des gisements d’opale y aient été découverts. C’est une zone désertique, il peut y faire très chaud en été et très froid en hiver (surtout les nuits) et c’est pourquoi les habitants habitent en majorité dans des maisons troglodytes. Aussi, il faut faire très attention dans la région car il y a des mines partout et il est interdit de marcher dans la nature car il y a des trous de prospection un peu partout dans lesquels on peut aisément tomber si on ne regarde pas attentivement où l’on met les pieds. Nous avons donc visité une mine d’opale en compagnie de Christophe, un français qui fait son tour du monde en solo et avec qui nous avons passé la soirée. Il nous a raconté des choses aux sujets des aborigènes et qu’il ne vallait mieux pas dormir dans la rue ou au bord des routes dans cette région car c’était “risqué”… du coup, tout le monde au camping. Le soir, nous avons dîné tous les 3 chez nous mais c’était notre hôte qui était aux fourneaux 🙂 Une soirée sympathique à discuter de choses et d’autres mais nous n’allions malheureusement pas dans la même direction, lui faisait à peu près le même circuit mais dans le sens inverse…

Les paysages dans les environs de Coober Pedy font pas mal science-fiction et on comprend que de nombreux films de S-F aient été tournés dans le coin (Mad Max, Planète Rouge, etc.).

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