« Bienvenue chez les Kiwis » devait être mon article lors de notre arrivée en Nouvelle-Zélande mais finalement ce sera celui de la conclusion…
La Nouvelle-Zélande marquait pour nous un virage dans notre périple car nous quittions l’Amérique du Sud et sa culture hispanique pour l’océanie et sa culture britannique. Aussi, nous changions complètement notre mode de voyage, fini les transports en commun d’Amérique du Sud, place à l’autonomie et la liberté à bord d’un campervan. Donc choc des cultures, changement radical de mode de voyage mais également choc du porte-monnaie, ouille ouille ouille, ici les prix ne sont sans doute pas plus cher qu’en France mais après plus de 3 mois en Amérique du Sud, on s’était habitué à la vie très bon marché… Au final, notre expérience néo-zélandaise aura définitivement été trop courte mais nous aura coûté « cher ».
En ce qui concerne le pays, je l’avais découvert (comme beaucoup) en voyant le « Seigneur des Anneaux » au cinéma et c’est les superbes paysages entrevus sur grand écran qui m’avait donné l’envie de venir découvrir ce pays. C’est chose faite et je ne regrète pas. Le pays, composé de deux îles principales offre une multitude de paysages différents. L’île du nord avec ses paysages volcaniques et ses verts pâturages où se trouve 70% de la population contraste avec l’île du sud, beaucoup plus sauvage, avec ses « Alpes » et ses fjords. Les deux îles abritant de très belles plages. Pour ce qui est de la population, elle est bien sûr majoritairement originaire de Grande-Bretagne (environ 75% de la population est originaire d’Europe). Derrière, il y a les habitants « d’origine », les Maoris (dont la langue est une langue officielle en Nouvelle-Zélande) et suivent derrière les minorités issues de l’Asie (chinois et indiens en tête). On sent que les néo-zélandais sont très concernés par la conservation de leur environnement, outre le fait que le pays soit « nuclear free », il faut montrer pâtes blanches en arrivants et jeter tout ce qui pourrait contaminer ou menacer l’environnement du pays et le tri et recyclage des déchets est très pratiqué ici (bien plus que chez nous). Enfin, nous n’avons pas vu de mendiants ni clochards ce qui ne veut pas dire qu’il n’y en a pas bien sûr mais on n’a pas vu de « pauvreté » que ce soit dans les centres ville ou dans les banlieues traversées. Ici la différence se fait par la taille du 4×4, du bâteau ou de la maison (voir campervan) car presque tous les néo-zélandais posèdent au moins un bâteau et/ou un campervan. Il faut dire que le plus proche voisin (l’Australie) est à 3h d’avion donc pour les vacances, ça se passe surtout en interne… 🙂
Seuls regrets, nous n’aurons pu voir de match de rugby car la saison s’est achevée en septembre et nous n’aurons pas eu/pris le temps de nous intéresser plus à la culture Maori. Ce sera pour la prochaine fois.
Enfin deux mots sur les « Kiwis », tout le monde connaît le fruit (originaire de Chine à la base et ici très très bon) mais tout le monde ne connaît peut-être pas l’oiseau (?) et enfin, c’est aussi le surnom des habitants et de la monnaie du pays (les kiwis dollars) sans parler du nom de l’équipe de rugby à XIII (à ne pas confondre avec l’équipe de rugby à XV, les fameux All-Blacks). Voilà pour ce qui est des « Kiwis ».
PS : je ne pensais pas que l’on croiserait autant de touristes et notamment autant de français dans ce pays si lointain (pour mémoire, 12h de décallage horaire avec la France quand même… quand vous vous levez, on se couche et quand on se lève vous vous couchez…).
Je comprends que le changement soit radical après 4 mois d’Amérique du sud, vous avez fait le grand écart!!! Vous avez pu discuter avec les Français du restaurant, ils sont installés depuis longtemps?
Oui, ils sont arrives en 2002 a Auckland ou ils ont ouvert une boite de yatching. depuis 6 mois, ils ont ouvert ce restau.
Tous les fromages viennent de France (pas de comte…), en fait tous les produits vendusen boutique le sont.
Je pense que seuls les produits utiises pour faire la cuisine sont locaux (sauf le fromage a raclette).
Pour le pain, on ne sait pas, peut etre se font-ils envoyer de la pate surgelee, peut etre ont-ils un boulanger/patissier francais cache en cuisine…il y avait des eclairs au choco…des croissants…
ils n’embauchent apparemment que des francais, histoire de savoir dire bonjour sans accent.
Et pour l’australie, ce sera le même mode de déplacement et d’hébergement? Car là-bas aussi il y a de grands espaces avec pas grand chose au milieu de nulle part 🙂
Il est très intéressant cet article qui fait la jonction entre l’Amérique Latine et ces îles britaniques.
Coucou Dounia,
Heureux de voir que ton voyage se déroule bien, 4 mois déjà, ça passe à une vitesse!!
En tout cas, vos péripéties donnent envie 😉
a+
Vous en êtes où les explorateurs ? parce que je commence un peu à m’inquiêter !
un petit mot juste pour nous dire que tout va bien. peut-être que quelqu’un a des nouvelles d’ailleurs madre ?? padre ??
J’ai eu un court message de Dounia avant-hier. J’en déduis que tout se passe bien.
Sa maman
Merci c’est gentil
T’inquiètes pas M.J. Dernier message reçu hier matin et tout allait bien. Ils ont leur van pour jusque début janvier et Adrien nous a même fait du dépannage informatique en live. A cette heure ils sont dans le Parc National de Flinder’s range et les mines de Coober Pedy entre adélaïde et Alice Spring. Ils ont d’ailleurs prévenu que les communications seraient beaucoup plus espacées car le désert, même australien, c’est quand même le désert.
Et comme d’hab, j’ai oublié de changer le name, c’est le padre qui vient de repondre mais ça ne change rien aux nouvelles 🙂
merci pour les nouvelles,me voici rassurée.
Alors oui, je confirme que tout se passe bien mais que nous ne beneficions d’internet que tres occasionnellement et la priorite est donne aux affaires courantes… desole :/
Mais on prepare des articles et un de ces prochains matins, vous aurez de la lecture pour vous occuper plusieurs soirees 🙂
super contente de te lire. l’important est que tout se passe bien
biz à vous 2 ++
Bonjour Maryjo,
Je pense que tu as lu les dernières new’s, ça veut tout dire. Le dicton « pas de nouvelles, bonnes nouvelles » prend ici toute sa dimension. Rien ne sert de s’inquiéter, il nous faut juste savoir patienter…la suite avec ses anecdotes et ses photos n’en sera que plus fabuleuse!!! bisous à toute la famille.
Oui oui j’ai vu tout ça ce matin. c’est gentil de me rassurer. Merci Biz